Fall of the Reich.Campagne.Journal Allemand.

Un sujet pour que l'Etat major germanique puisse rédiger ses rapports.

Journal de marche du kampfgruppe"Argstern".


08 février:Nous avons fait jonction avec le Kampfgruppe "Ostwand".
Les 09 et 10 février avec l'Oberst Kurtzwarenhandler nous avons établi une ligne de défense en vue de stopper la progression des troupes ennemies.
Une fois les positions des différentes unités définies,des patrouilles sont parties pour localiser les forces adverses.
L'activité dans les lignes ennemies s'est multipliée durant la nuit du 12 février,laissant supposer une offensive majeure pour le 13.
Nous sommes prêts à l'accueillir et à défendre le sol de la mère patrie contre l'envahisseur.
Sturmbannführer Argstern.

Le Sturmbannführer Franz Argstern:

Des éléments de la Waräger prenant position:

513 SS:

Oberst Fabian Kurzwarendhandler

720 Volksgrenadier division:

321 Stug Abteilung:

Nebelheim, le 13 février.

Etes-vous prêts,
A l’ouest ?
Etes-vous prêts,
A l’est ?
Le temps de la cour,
Est terminé.
Le prix est élevé
Et le Reich est mort.
Le temps de la cour,
Est terminé.
Les couleurs ternissent,
A la lumière de la mort.
C’est la fin,
La fin de la fin.

Plusieurs de nos unités sont engagées à l’ouest par les anglais, les animaux n’ont pas attaqués à l’est… Surement qu’ils essayent de nous surprendre en retardant leur action..

Le 13 février, 14h00

Un réfugié, fuyant l'avancée des russes, nous as rapporté qu'une unité ennemi été aux portes de Nebelheim et qu'ils utilisaient des hommes pour tracter leur canon. Apres lui avoir donné un peu de soupe pour lui et sa famille nous l'avons mis dans un bus et expédié a Verlin.

Ils tractent des canons a dos d'hommes !! Qu'elle aubaine !!!

Nebelheim s'organise pour repousser les russes:

Karlsheim:Nos soldats aident à l'évacuation de la population civile,pour la mettre à l'abri des combats.



Puis les défenseurs prennent position pour repousser l'assaut britannique:

L’aurore dardait ses traits à travers les branches.
Karl, négligemment appuyé sur le tourelleau, fumais une cigarette anglaise.
Les premiers rayons du soleil faisaient monter une légère brume fantomatique sur la plaine, le gel rendait le silence surnaturel…
Le barrage de 120 déchira le calme  ambiant.
Karl pris une dernière bouffée et jeta la cigarette.

« En plongée, c’est l’heure… » Dit-il en fermant la trappe.

Quelques instants plus tard deux véhicules arrivèrent par l’autobahn, quatre tirs de mortier les accueillirent. L’un des projectiles tomba juste devant l’un d’eux le privant de ses roues et l’obligeant à finir sa course sur le châssis. L’autre disparut derrière un bosquet.
Karl ne put s’empêcher de sourire.
Des Sherman apparurent sur la plaine tirant des obus au jugé dans les bois, l’un deux pulvérisât un arbre à 10 mètres du Panther.
Karl se mit à rire.
Ce fut de courte durée, car sur le flanc droit Hernnst et Balkau hurlaient dans la radio, ils se faisaient encercler par des Cromwell, puis ce fut le silence.

Karl se tendit.

Un firefly parvint à distance idéal. Deux coups au but le mirent en feu.
Un Sherman pointât le bout de son nez. Un tir précis envoyât la tourelle volée 20 mètres en arrière.
Le Lynx prévint Karl que les renforts arrivaient et que les Cromwell essayaient de le prendre de dos.
Ce qui fut confirmé par la mise à mort du Berg Panther et du Wirbelwind.
Apparemment, les Volksgrenadiers taillaient en pièces l’infanterie anglaise et avaient ouvert un Sherman fléau au panzerschrek.

« Moteur en marche ! On va rejoindre l’infanterie en longeant l’autoroute ! » Hurlât Karl

Contre toute attente,  les aigles de la Luftwaffe vinrent soutenir les Volks à grands coups de bombes à fragmentations et de canons de 20mm. L’enfer se déchainait contre les roosbeefs, réduisant leur infanterie à l’état de cadavres déchiquetés.
Le Panther se mit en embuscade près d’un bosquet, sa route était coupée par des blindés ennemis difficile à identifier, ce qu’il ne l’empêchât pas d’achever le véhicule de reco immobilisé avant d’éliminer trois autre blindés qui n’étaient que des Kangaroos.  Pendant ce temps le Lynx immobilisât un Sherman avant d’être pulvérisé par un firefly.

Alors qu’il surveillait les alentours Karl vit surgir Un Cromwell et un véhicule de reco sur ses 6h…

Le Sherman aux 17 livres, pensant participer à la chasse au Félin, dut se résoudre à s’enfuir en voyant la silhouette d’un Panther, la tourelle pivotante, rendue terrifiante par les flammes s’échappant des carcasses derrière lui.

L’armée ennemie était en déroute, la victoire totale.

Karl s’extirpât de la tourelle, s’assit à califourchon sur le mantelet et s’allumât une cigarette…
« Hey chef ! C’est-y pas une bonne journée ? » S’exclamât Franz, sortant la tête du poste de pilotage.
« On as perdu tous les autres… Mais on a arrêté ces salauds… » Dit Karl avec un rictus.

13 février, le soleil se lève,étant stationnés à Siennich mes hommes et moi nous attendons à subir l'offensive alliée...Mais rien ne vient!
8H30: Un message m'avertit qu'une colonne blindé essaie de tourner notre front en s'emparant de la côte 1510.Je prends le commandement d'un peloton et fais mouvement pour renforcer nos troupes qui défendent la position.
9h00:Nous arrivons en vue des combats,qui semblent mal engagés, 2 de nos panzers sont hors de combat et une masse de chars ennemis occupe le terrain.J'ordonne un assaut sur une ferme et un bosquet qui servent de point d'appui aux britanniques.Mes hommes avec un élan remarquable s'emparent de la position anéantissant un peloton d'infanterie et le mortier soutenant l'attaque ennemie.Alors que celui si réagit et se prépare à contre attaquer la Luftwaffe se manifeste et permet de détruire un second peloton d'infanterie,le soldat Schmidt détruit un sherman au panzerschreck alors que le dernier panther parfaitement embusqué s'adjuge nombre de blindés Anglais.Les survivants de la colonne s'enfuient abandonnant les carcasses de 5 chars et de nombreux véhicules ainsi que tout leur matériel lourd et des prisonniers parmi lesquels il y a un capitaine(d'ailleurs l'unité ennemie a été identifiée comme appartenant à la 3 armoured polish division).
Hauptmann Schirer 720 VolksGrenadier Division.

Une des victimes du Panther de Karl.

Le capitaine Mania et quelques uns de ses hommes.

13 février 9H00,secteur de la colline 3306.
Le buste sorti de son Panther l'unterstumführer Falkenhaim observait les blindés britannique dans la plaine.Il ne pouvait nier être impressionné par la masse de matériel qui se déployait,malgré tout il était serein,2 autres panthers étaient comme le sien camouflés dans les bois et le 4ème membre de son zug restait en réserve caché par une élévation.Il rompit le silence radio pour ordonner l'ouverture du feu.Quasi instantanément les 3 panzers firent feu détruisant leurs cibles.La plaine se transforma en enfer pour les blindés alliés alors que les fauves alignaient les coups au but comme à l'entrainement,Falkenhaim vit même l'unterscharführer Kranz détoureller un sherman à plus de 2km. Finalement les britanniques se replièrent sous le couvert de fumigènes.L'untersturmführer fit mouvement pour soutenir le panther sur le flanc gauche qui taillait en pièces une troupe de cromwells qui tentait de se faufiler entre les collines.A ce moment les gars du volkssturm lancèrent un assaut contre l'infanterie ennemie retranchée dans un hameau isolé.Comme tous les blindés ennemis étaient en fuite ou détruits Falkenhaim ordonna un mouvement en avant pour soutenir les fantassins qui pour des gamins et des vieillards se battaient comme des lions.Là aussi les tommies prirent la fuite .N'ayant aucune perte sérieuse à déplorer les vainqueurs commencèrent à faire le tour des carcasses abandonnées à la recherche de cigarettes de chocolat et de rations toujours en grand nombre chez l'ennemi...

Les vainqueurs profitent des trésors abandonnés par les britanniques.

Helmut Genisau avançait prudemment à la tête de ses « homme », un ensemble hétéroclite de vieillards et d’enfant de tous âges et condition…
Le jour était levé, une légère brume montait du sol gelé les dissimulant à peine, cela faisait quelques minutes que les combats avaient commencés.
Alors que les échange de tirs devenaient de plus en plus nets, Genisau aperçu à travers les lambeaux de brume ce qui ressemblait à une ferme, son instinct l’avertie que quelque chose clochait. Ils s’approchèrent prudemment à 150m de la ferme tout en se mettant en position d’attaque, c’est alors qu’il remarqua un véhicule léger ennemi dans la cour.

Genisau fit venir le radio. Il signalât à l’Untersturmführer Falkenhaim la présence de troupes ennemie dans le corps de ferme et fit une requête pour un tir de mortier sur l’ensemble agricole.

Aucune réponse ne lui parvint, il allait réitérer sa demande lorsque un barrage de 120mm tombât pile à l’endroit demander, faisant le rapport de tir au commandant il lançât ses troupes à l’assaut.

Les braves grenadiers se ruèrent à l’attaque, ils balayèrent une Vickers sonnée dans la première maison et pulvérisèrent un bren carrier au panzerschreck. Alors qu’ils allaient prendre d’assaut le reste de la ferme un Sherman fléau surgit et mis hors de combat le panzerschreck.

Alors que Genisau et sa troupe couraient se mettre à l’abri, un obus de 75 tombât au beau milieu de l’escouade de commandement, Genisau fut projeté au sol mais bien que sonné réussit a se relevé tout en s’emparant d’un panzer Faust qu’un de ses homme blessé avait lâché.

Une fois à l’abri, il voulut utiliser l’arme antichar mais se rendit compte qu’elle était endommagée. De rage il jetât le panzerfaut à travers la grange. C’est alors qu’il entendit un énorme fracas dehors, jetant un œil il aperçut le vieux Geert Schweinhoff et son groupe s’éloigner du Sherman en flamme avec des tubes de panzerfaust vides.

Le jeune Klein lui indiquât que les Panthers venaient d’achever les dernier blindés ennemis et que l’infanterie britannique refluée. Il ordonnât a ses troupes de pousser jusqu’à l’intérieur du village.

Une fois la zone prise, Genisau s’assit sur les marches d’une maison et dégustât une plaque de chocolat trouvée près d’un cadavre d’anglais.

Depuis la tourelle de son Tigre II Franz Argstern surveillait les abords de l'autoroute.Il venait de recevoir le rapport de l'obersturmführer Ostendorff lui indiquant que sa colonne était stoppée par des troupes britanniques non détectées. Malgré cela il avait décidé de poursuivre l'attaque.Soudain il repéra un sherman camouflé près d'un corps de ferme,il indiqua la cible à Schmidt son tireur et rapidement un obus mit en feu le blindé.Le second Tigre du zug envoya un obus HE dans un bosquet ce qui permit à Argstern d'apercevoir un firefly qui fut rapidement transformé en carcasse fumante.Un barrage d'artillerie tomba loin du troisième mastodonte qui complétait l'unité alors que celui ci détruisait un blindé de reconnaissance.A ce moment l'unité de panzergrenadiers et le panther surgirent sur le flanc de la position alliée. Un autre firefly se découvrit mais son compte fut rapidement réglé par le Tigre alors que le panther mettait en feu un sherman dissimulé dans la cour de la ferme.Les derniers véhicules alliés prirent la fuite abandonnant un peloton d'infanterie encerclé dans la ferme.N'ayant d'autres choix que la reddition l'unité polonaise déposa les armes,concluant un combat à sens unique qui voyait le triomphe des forces allemandes...

Les panzergrenadiers explorent les épaves de shermans à la recherche de trophées.

Alors que les prisonniers partent pour la captivité.